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11 octobre 2006 3 11 /10 /octobre /2006 16:27

De temps en temps, on doit échanger de gros fichiers avec une ou plusieurs personnes. Or, les comptes de messageries les acceptent rarement. 20 M est souvent la taille maximum autoirisée pour un courriel. Il existe des solutions gratuites pour contourner le problème.

Je viens par exemple d'utiliser ce site d'échange de fichiers. On peut ainsi mettre à disposition pour de nombreuses personnes, et gratuitement, des fichiers à télécharger jusqu'à 100 M. La messagerie n'est ainsi pas encombrée.

Que ce soit pour échanger des photos de vacances, l'enregistrement d'une réunion, un fichier vidéo ou une lourde présentation, la solution du dépot/téléchargement me parait une pratique efficace et bon marché :-)


20 courriels reçus par jour maximum, possible or impossible ?

Pour aller plus loin, téléchargez les 7 bonnes pratiques d'utilisation de la messagerie...

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8 octobre 2006 7 08 /10 /octobre /2006 09:41
Ce n'est pas qu'un effet de pub. Le film "Indigènes" qui sort sur les écrans n'est pas un cliché ni un raccolage. Les messages sont clairs sans être caricaturés, la guerre est sale, réelle et crue - pas de sentimentalisme à l'américaine - les relations sonnent dans le vrai, les détails, terribles, sont sans appel.

On sort
bien sur écoeuré de notre histoire, peu fier de l'indigence de notre pays, enclin à ravaler notre morve quand nous donnons des leçons aux autres peuples sur les droits de l'homme. Les "indigènes" n'étaient pas une poignée mais plus de 200.000 ! Pas un détail de l'histoire...

Un film à montrer aux grands comme aux ados.
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6 octobre 2006 5 06 /10 /octobre /2006 08:52
Vous arrivez, professionnel, pile à l'heure au rendez-vous - c'est-à-dire que vous appuyez sur la sonnette du client à H-2 minutes. Vous déclinez identité et beau sourire à l'assistante de l'accueil qui vous demande de patienter pendant qu'elle prévient votre interlocuteur. Vous hésitez, dois-je m'asseoir, rester debout... Vous regardez par le fenêtre en révisant vos exercices de relaxation, vous mettez votre téléphone en mode "silence", vous passez une dernière fois en revue les arguments à développer pendant le rendez-vous, vous échangez quelques paroles essentielles avec l'hotesse d'accueil, du genre "il fait beau aujourd'hui, n'est-ce pas ?" ou plus puissant "vous avez une vue superbe depuis votre poste de travail".

Bref, vous poirotez !

5 minutes... 10 minutes... 15 minutes... à l'ouest pas plus qu'à l'est, rien de nouveau !

Alors vous faites quoa ?

1 - vous attendez sagement qu'on vienne vous chercher;
2 - vous demandez gentiment à l'hotesse de vérifier si votre interlocuteur sait que vous êtes là;
3 - vous prenez la poudre d'escampette offusqué qu'on se moque de vous;
4 - vous la jouez "Rambo, le retour", enfoncez la porte du bureau du client, envoyez un grand coup de tête sur son nez d'oiseau, doublé d'un uppercut bien dosé, attrapez son ordinateur pourri et le fracassez contre le mur, repartez fier vers votre Clio de fonction, sans oublier de décocher un de ces clins d'oeil complice à l'hotesse, stupéfaite mais énamourée.

Sérieusement, ce problème est courant. Que faut-il faire ? Accepter sous prétexte qu'on est fournisseur un comportement que le client n'accepte pas des autres ? Courber l'échine ?

Voilà ce que je vous suggère. Premièrement, arriver pile à l'heure, ce qui veut dire qu'on vise d'être sur place 15 minutes avant, on s'installe devant un verre de thé glacé dans le bar d'en face en attendant l'horaire. Une fois les présentations faites, on s'assure que l'hotesse prévient bien le client. De préférence, on reste debout pour accueillir l'arrivée du client, surtout si c'est un premier rendez-vous. Après 10-12 minutes d'attente (après l'horaire convenu donc), on s'enquiert auprès de l'assistante de savoir si l'interlocuteur est bien prévenu. Si elle relance au téléphone, on est fixé. Si elle confirme qu'il va arriver, on en reste là. A H +16-18 minutes, on demande à l'hotesse de rappeler pour vérifier que notre hote est bien disponible pour nous recevoir. Si aucune précision n'est apportée, à H + 25-30 minutes, on dit (aussi gentiment que possible, après tout elle n'y est pour rien) à l'hotesse d'accueil : "Désolé, je comprends que M ou Mme x n'est pas disponible pour me recevoir aujourd'hui. J'ai d'autres engagements importants. Je le rappelle pour fixer un autre rendez-vous." A ce moment là, soit l'assistante fait une dernière tentative pour que vous soyez reçu séance tenante, soit elle baisse les bras. Dans ce cas, vous quittez les lieux.

J'ai souvent exposé ce point de vue à des collègues, collaborateurs, clients,
ou à des amis. Les objections sont toujours les mêmes :
- Mais tu te rends compte, tu risques de perdre un client !
ou
- C'est facile à dire mais pas à faire !
ou
- Quand on est en situation de forte concurrence, on ne peut pas se permettre ce genre d'attitudes !

Et voici mes répliques :
- Que pensez-vous d'un client qui ne vous respecte pas, pensez-vous qu'il va ensuite travailler dans la collaboration avec vous, ou dans la tentative courante et manipulatoire de vous soumettre à ses désirs ? N'est-il pas plus opportun de développer les relations de business avec des clients qui se comportent comme de véritables partenaires ?
- Pourquoi est-ce si difficile de se faire respecter par son client ? De quoi a-t-on peur ? De perdre un client ? Etes-vous si sûr que vous allez le perdre parce que lui est en retard ? Le client n'a-t-il pas besoin de ses fournisseurs pour vivre ?
- Si votre agenda est correctement équilibré, vous avez d'autres engagements qui suivent le rendez-vous avec le client 1, n'est-ce-pas ? Alors pourquoi être en retard chez le client 2 à cause du client 1 ? Pourquoi continuer d'encourager les gens qui n'ont pas la politesse de respecter l'engagement qu'ils ont pris avec vous ?

Entendons-nous bien : il peut y avoir des événements exceptionnels qui déclenchent des retards. Mais dans ce cas, il est toujours possible d'expliquer : "la réunion où se trouve M ou Mme X dure plus longtemps que prévu. Il/elle a été prévenu de votre présence et vous demande si vous pouvez patienter 30 minutes. Il/elle est désolé." Ou mieux encore, l'interlocuteur s'échappe lui-même 2 minutes de la réunion en question, pour venir vous demander de patienter ou de reprendre rendez-vous.

Tout cela ne renforce-t-il pas l'obligation commerciale qu'on a de diversifier son portefeuille clients, pour développer les relations vraies et solides qui sont possibles entre partenaires de qualité...

Le proverbe disait : "l'exactitude est la politesse des rois". Apprenons donc à nos clients et partenaires à s'élever dans la noblesse...

Article en clin d'oeil à Thibault
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5 octobre 2006 4 05 /10 /octobre /2006 09:01
Depuis quelques dizaines de milliers d'années (peut-être même centaines), l'être humain a conscience que les femmes ont des enfants. Au 21ème siècle, en France, on continue pourtant dans les entreprises de faire peser sur la grossesse : culpabilité, retard de carrière, brimades salariales et autres.

Parfois j'ai honte d'être un homme !

Elle revient de sa maternité et découvre que tous ses collègues ont été augmentés en son absence, sauf elle. Elle interroge son boss (un homme). Réponse incroyable et lâche : "tu n'étais pas là". Rien d'autre, pas d'argument. Elle va voir le boss de son boss, la DRH, bref, elle rentre dans la lutte. Le résultat est encore incertain quand nous déjeunons ensemble il y a quelques jours.

Que penser d'un management qui a des vues aussi courtes ? Que penser d'une direction des ressources humaines qui cautionne de telle pratiques ? Quelles peuvent être les véritables motivations pour écarter de l'équipe une femme enceinte en son absence ? Que peut-on imaginer de la motivation d'une jeune femme qui se sent exclue dès son retour ?

Rien n'est plus programmable que la maternité d'une collaboratrice. Dès qu'elle annonce l'heureux événement, on a quelques mois pour préparer son remplacement. On connait la durée de son absence. Si elle décide de prendre un congé parental, dans la mesure où on a établi une relation de confiance, le manager peut le savoir très tôt.

Je trouve pitoyable le mépris de ce sujet par nombre de managers !

Article dédié à Laetitia
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4 octobre 2006 3 04 /10 /octobre /2006 10:13
Je suis souvent prompt à critiquer la vétusté de nos méthodes d'enseignement. Un grand dépoussiérage me paraît nécessaire quand je constate le décalage qui s'élargit entre la réalité de la vie de l'entreprise - soit environ 40 ans de notre vie - et les méthodes et messages que nombre d'enseignants continuent de dispenser à nos jeunes têtes...

Pourtant, il y a des changements et parfois des exemples qui font plaisir à voir. Il y a quelques jours, j'assistai à la réunion maitresse - parents d'un des enfants de la maisonnée, en classe de CM1.

La maitresse commence par un tonitruant : "je vais m'éclater". Ca fait plaisir à entendre. Et d'enchaîner propositions et clins d'oeil pédagogiques. Morceaux choisis :

- elle invite chaque parent à venir passer une demi-journée dans sa classe --> "cela me fait plaisir et ca ne dérange pas les enfants" --> sympa pour rapprocher école et parents, non ?
- elle propose des contrats aux enfants, à celui-là, timide : "je ne t'ai pas beaucoup entendu aujourd'hui, demain on se met d'accord pour que tu lèves le doigt 5 fois" --> du développement de la notion d'engagement;
- habilement, elle fait passer un message aux parents en se mettant en scène : "quelquefois, je ne comprends pas ce que l'élève ne comprend pas, il faut que je me creuse la tête pour me mettre à sa place" --> un zeste de réflexe d'empathie;
- elle fait faire des exercices de représentation mentale : "fermez les yeux, pensez à un chat, que voyez-vous ?" Les élèves voient de multiples choses, un chat qui court, un chat qui dort, une bande dessinée, le mot chat écrit en majuscule, et certains... rien ! "Imaginez, celui qui ne voit rien, que va-t-il comprendre quand je parlerai de fraction ou d'accord du participe passé" --> de la diversité de l'appréhension de l'abstrait;
- elle met en place le tutorat entre élèves en soulignant que cette méthode profite aux 2 protagonistes... essayez d'expliquer ce que vous avez compris, vous en aurez une connaissance plus solide --> ou comment valoriser la délégation et le devoir didactique de chacun;
- elle leur propose l'énigme de la semaine - avec 2 seaux, l'un de 3 litres, l'autre de 4, comment avoir exactement 2 litres --> vous avez trouvé en combien de temps ?
- etc...

Rien d'extraordinaire me direz-vous. C'est vrai, juste une maitresse passionnée et pleine d'initiatives pour éveiller le plus grand nombre et solliciter l'esprit critique.

Quant à l'assemblée de parents, toutes les angoisses propres de l'enfance resurgissent. Ce père de famille qui interpelle la maitresse : "quand je vois comment le cahier de mon fils est tenu, je hurle (SIC)".  Et la maitresse de répondre avec calme et fermeté : "certains élèves ont une vilaine écriture. Ils sont proches de la stabilisation de leur calligraphie. Je ne renvoie pas les cahiers des élèves qui écrivent mal, sinon certains ne décoleraient jamais. Si je n'arrive pas à lire, bien sur, je leur demande de refaire. Mais on en est à l'apprentissage de la compréhension, de l'interprétation." Un autre parent de rajouter
facétieusement "certains médecins écrivent très mal"...

Enfin, je note que sur chaque point évoqué pendant la réunion, les "ho" et les froncements de sourcis, les mini-débats et les inquiétudes montrent qu'il y a presque autant d'avis que de participants.

Que c'est dur d'éduquer... Moi, je pense que cette classe est entre de bonnes mains !
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3 octobre 2006 2 03 /10 /octobre /2006 12:02
Le coeur du débat de notre intervention familiale bi-céphale battait sur l'élasticité dans laquelle doit évoluer le manager entre responsabilité et conviction. J'ai aussi chatouillé ces idées dans "oppositions ou pulsations".

Pour tacher d'être très concret, le manager peut-il simplement se cacher derrière la notion de responsabilité déléguée ?

"
Suivre les ordres
" a tambouriné Eichmann à son procès, comme seule ligne de défense. N'est-ce pas soumission excessive à l'autorité et au cadre de ses responsabilités ? Réponse évidente. N'était-il pas l'heure de puiser dans ses convictions ?

D'un autre coté, que pensez de ceux
qui, pétris de convictions, finissent leur vie dans la ferraille et le béton de tours gigantesques et symboliques, entrainant avec eux nombre d'innocents. Absence de repères et de responsabilité ?

Ces 2 exemples, excessifs, pris dans l'histoire, illustrent qu'il ne suffit pas de "suivre ses convictions" ou "d'agir dans le périmêtre de ses responsabilités". La conviction ne doit-elle pas être relativisée par le sens des responsabilités ? La responsabilité ne s'arrête-t-elle pas là où les convictions sont ébranlées ?

Comment garder en éveil la conscience du manager, pour qu'il arbitre avec à-propos dans une saine oscillation responsabilité/conviction ?


Je cite wikipedia concernant le cas Eichmann, en particulier pour ce qui concerne "la troisième et très controversée analyse" et le spectre de "faire carrière" :

Le cas Eichmann 

Depuis plus de quarante ans qu'Eichmann est mort, les historiens n'ont cessé de spéculer sur sa vie et sur son action. La question la plus cruciale étant de définir sa responsabilité exacte dans la mise en œuvre de la solution finale. La plupart affirme qu'il savait exactement ce qu'il faisait et connaissait les conséquences de ses actes. Néanmoins, quelques-uns, dont son fils, estiment qu'il a été méjugé et qu'il ne faisait que son devoir de soldat allemand.

Une troisième et très controversée analyse est faite notamment par Hannah Arendt, une juive allemande exilée aux États-Unis lors de la monté du nazisme dans les années 1930 et qui a couvert le procès Eichmann pour le magazine The New-Yorker. Dans son ouvrage Eichmann à Jérusalem qui compile ses chroniques de ce procès, Arendt conclut qu'Eichmann n'a montré ni antisémitisme ni troubles psychiques, et qu'il n'avait agi de la sorte durant la guerre que pour « faire carrière ». Elle le décrit comme étant la personnification même de la « banalité du mal », se basant sur le fait qu'au procès il n'a semblé ressentir ni culpabilité ni haine et présenté une personnalité tout ce qu'il y a de plus ordinaire. Elle élargit cette constatation à la plupart des criminels nazis, et ce quelque soit le rang dans la chaîne de commandement, chacun effectuant consciencieusement son petit travail de fonctionnaire ou de soldat plus préoccupé comme tout un chacun par son avancement que par les conséquence réelles du travail. Beaucoup allèrent plus loin dans ce raisonnement en affirmant que chacun, pour peu que les bonnes conditions soient réunies, les bons ordres, les bonnes incitations données au bon moment, peut commettre les crimes les plus odieux, mais Arendt elle-même refusa cette interprétation.


A méditer...


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1 octobre 2006 7 01 /10 /octobre /2006 08:45
Regardez ce document. Spectaculaire non !

Encore un exemple que la réalité a toujours plus de couleurs que l'on imagine. Et donc, que lorsque qu'on argumente pour le rose, il convient également d'écouter celui ou celle qui développe une argumentation verte...

Confrontation, confrontation...
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27 septembre 2006 3 27 /09 /septembre /2006 15:28

Grâce à l'un de mes lecteurs (David... à qui je dédie cet article), je vais corriger un crime de mon ignorance. Depuis plus de 10 ans, quand je présente le diagramme de PERT (Program Evaluation Review Technique), je me trompe de nom de baptême. La méthode que j'enseigne n'est pas à proprement parler le PERT. Ai-je été trompé par mes lectures ou par l'utilisation il y a quelques années de Microsoft Project qui dénommait PERT, à tord, la représentation dont je parle dans l'article que j'ai écrit en mars 2005 ?

Selon David, "ma proposition" est la méthode CPM. J'ai fait des recherches - AFITEP, PMI, wikipedia, internet, bouquins projet... En effet, ce que j'explique se rapproche davantage de la méthode Critical Path Method --> voir le dictionnaire franco-anglais de l'AFITEP, ou NetMBA.

 


Pour lire la suite cliquez ici


Un certain nombre d'articles de ce blog migrent vers le site http://je-suis-manager.com/ qui a pour vocation de professionnaliser et moderniser la proposition. Merci de votre compréhension.

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27 septembre 2006 3 27 /09 /septembre /2006 08:38
Je lis actuellement Léon l'Africain d'Amin Maalouf. Je vous cite quelques lignes :

"Aide ton frère, qu'il soit oppresseur ou opprimé"...
"L'opprimé, nous l'aiderons, cela va de soi. Mais l'oppresseur, de quelle manière devrions-nous l'aider ?"
Or, il avait répondu : "Vous l'aiderez en prenant le dessus sur lui et en l'empêchant de nuire."

On peut comprendre que des peuples se révoltent contre l'oppresseur. On oublie parfois qu'à notre échelle, avec notre attitude de manager, on peut devenir oppresseur. N'accepte-t-on pas sans bouger les excès des tyrans en herbe qui prennent le pouvoir ça et là dans les entreprises ? N'est-il pas de notre responsabilité de les "empêcher de nuire" ? N'est-ce pas une bonne chose pour l'intérêt général ? Rappelez-vous l'anecdote de Jimmy...

Pas de naïveté : bien sur, travailler avec compréhension, en équipe, privilégier l'écoute, la contribution sont des clés de succès. J'en suis profondément convaincu. Mais parfois la lutte est là, on ne peut y échapper. Et si l'oppresseur est identifié, il ne peut y avoir qu'une dernière solution : l'empêcher de nuire.

Courage :-)
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22 septembre 2006 5 22 /09 /septembre /2006 09:30
Depuis que j'ai décidé de lancer une offre de coaching en ligne, j'en parle et demande des avis autour de moi. A mon grand étonnement, l'accueil a été unanimement positif. Je m'attendais à des résistances, je m'attendais à des objections sévères sur la nécessité de la présence physique, etc. Non seulement ceux qui ont élevé des objections mineures les ont eux-mêmes balayées, mais j'ai eu plusieurs avis favorables de DRH - que j'aurais pensé plus conservateurs/trices sur ce sujet.

Tant mieux, cela prouve que le besoin existe, et que mon offre a du sens.

Et bonne nouvelle ce matin : j'ai "signé" en ligne une première affaire. On démarre avec 10 séances hebdomadaires de 30 minutes, ce qui démontre aussi qu'il y a une attente pour des séances brèves et rapprochées.

:-)
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Depuis 2004, je partage des expériences, anecdotes, outils de management : optimiser son temps, manager son équipe, manager son chef, diriger un projet, travailler en intelligence collective. Je propose une démarche inspirée de la vie professionnelle et de la vie au sens large. J'espère que vous y trouvez de l'inspiration pour devenir le manager que vous rêvez d'avoir. Bonnes lectures...

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