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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 08:12

CarnavalJe lance un carnaval d'articles... de quoi s'agit-il ? On peut qualifier l'exercice de co-publication. Je souhaite proposer à mes lecteurs de parcourir les propositions de lecture de plusieurs blogueurs, ou de personnes souhaitant publier sur mon blog.

 

Le sujet que je lance, c'est : "3 idées catastrophiques, 3 idées géniales pour devenir le pire ou le meilleur des managers".

Jusqu'au 31 mars, je vous propose d'écrire sur votre blog un article développant votre vision du sujet. Vous pouvez aussi m'envoyer  par courriel une chronique que je publierai en votre nom sur mon blog. Quelques instructions de publication :

  • vous pouvez écrire en français ou en anglais
  • le sujet doit être traité avec astuce et tact, humour et originalité
  • vérifiez bien l'orthographe et le juste usage de la langue (Molière ou Shakespeare)
  • merci d'intégrer un paragraphe à la fin de votre article pour permettre aux lecteurs de voter pour lui (voir ci-dessous),
  • si vous souhaitez que je publie sur mon blog, une fois l’article écrit, envoyez le moi par courriel à conseil@laurentderauglaudre.com
  • si vous publiez sur votre blog, envoyez moi un courriel avec l'adresse de votre article à conseil@laurentderauglaudre.com

Pour que chacun profite de cet échange d'idées, merci d'inclure ce paragraphe à la fin de votre article :

Cet article s'inscrit dans le carnaval "3 idées catastrophiques, 3 idées géniales pour devenir le pire ou le meilleur des managers". Ce carnaval est une initiative du blog Je suis manager - Devenez le manager que vous rêvez d'avoir.

 

Mon propre article et ceux des participants à ce carnaval sont accessibles à cette adresse : http://je-suis-manager.com/strategie-de-management/3-idees-catastrophiques-3-idees-geniales-pour-devenir-le-pire-ou-le-meilleur-des-managers/.

 

Cliquez sur les liens (Google +, Tweeter, LinkedIn, Facebook) sous l'article pour signaler que vous appréciez l'initiative.

Si vous préférez donner tout de suite votre avis, les commentaires attendent goulûment vos propositions...

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 08:17

Cet été, j'ai de nombreuses fois évoqué cette lecture : les 4 accords Toltèques de Don Miguel Ruiz. Chaque fois, cela a éveillé l'attention. Les Toltèques, "hommes et femmes de connaissance", scientifiques et artistes du Mexique avant les invasions européennes, se transmettaient une "sagesse" orale. Comme de nombreux livres de développement personnel, celui-là apporte sa pierre à l'édifice intérieur. Lisez-le !

 

Depuis l'enfance, nous donnons inconsciemment notre accord à tout un tas de stimuli extérieurs et intérieurs. Ces accords nous façonnent, créent nos croyances. Pourquoi certains d'entre nous voient le monde de telle couleur, alors que pour d'autres la couleur est totalement différente ? Le monde dans lequel nous vivons est-il différent ? Qui détient la Vérité ?

 

La proposition de la sagesse Toltèques est de créer 4 nouveaux accords intérieurs. A mon sens, ces "accords" intérieurs nécessitent le développement d'une vigilance particulière, d'élever notre niveau de conscience.

 

 


Pour lire la suite cliquez ici


Un certain nombre d'articles de ce blog migrent vers le site http://je-suis-manager.com/ qui a pour vocation de professionnaliser et moderniser la proposition. Merci de votre compréhension.

 

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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 11:22

 

Dans l'interrogation de responsabilité en entreprise, qui tourne beaucoup autour de ma table ces derniers temps, le défi intérieur se caractérise autour d'un triangle infernal...

Illustrons le propos : en tant qu'acteur impliqué d'un système/une entreprise, je suis au courant d'une situation pour laquelle je suis en profond désaccord de fond - par exemple sur la responsabilité "morale" de l'entité avec qui je collabore.

Rapidement, je peux (si ma conscience se réveille) tourner dans le triangle infernal dessiné ci-dessous :

 Triangle infernal

 

  1. 1 - dois-je collaborer ?
  2. 2 - dois-je entrer dans une lutte farouche ?
  3. 3 - dois-je m'éclipser, passer mon chemin ?

 


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13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 12:02

J'ai reçu il y a quelques jours le message suivant d'un lecteur :

"Cher Monsieur,
 
Nous avons eu, hier, avec quelques amis, une discussion vive sur ce qu'est le management.
L'origine du désaccord réside dans le fait que certains pensaient qu'un manager ne peut pas changer de secteur d'activité.
Un manager performant dans le domaine de la mode, ne peut pas endosser les mêmes responsabilités dans le domaine médical ou industriel car il ne connait pas son environnement. Un recruteur ne perdrait pas de temps à chercher un bon profil, il privilégierait plutôt le candidat qui connait le mieux le marché : clients, produits, ....
Je maintenais le contraire, un mng peut très bien réussir dans un autre domaine d'activité pourvu qu'il ait acquis les compétences managériales dans son cursus.
C'est même pour moi une preuve d'adaptabilité.
 
Qu'en pensez-vous ?"


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29 janvier 2008 2 29 /01 /janvier /2008 11:40
Ce matin, un illustre inconnu, lecteur de mon blog, a publié le  commentaire suivant : " C'est n'importe quoi! L'art d'enfoncer les portes ouvertes..." à l'article "la proactivité, bien peu de choses pour des conséquences énormes".

J'aime bien le débat, alors je vais tenter de relever ce défi-là, sans faux semblant ni justification. Mon article sur la proactivité est assez simpliste, je l'avoue. D'ailleurs, l'ensemble de mon blog n'est que tentative de mettre en avant le bon sens près de chez vous. Concret, proche du réel, sans l'ambition de tirer des théories générales à partir de constats de vie, à partir de "singularités" dirait l'un de mes amis. Je m'interroge souvent pourquoi des choses simples sont si peu appliquées, pourquoi les grands intellectuels ont parfois du mal dans le réel, pourquoi les grands dirigeants laissent passer des risques qui coûtent des milliards en prétendant qu'un lampiste porte tout le chapeau (y aurait-il une référence à l'actualité toute chaude ?).

J'ai envie d'inspirer mes lecteurs ou mes clients, en attirant leur attention. Je ne crois pas détenir de vérité, ni être en mesure de donner des leçons. Ma bannette est pleine de mes erreurs de parcours, dont j'essaie de tirer enseignement. Ne pas faire la même erreur trop souvent, c'est déjà  pas mal, ce qui passe par l'étape de la prise de conscience. Etre proactif, c'est une position, une attitude d'anticipation. C'est poser un regard d'analyse et de prévention des risques. Cà, c'est la théorie ! Mais en pratique, comment le traduire ?

J'ai aussi envie de relever le propos "enfoncer les portes ouvertes". Ce qui est une porte ouverte pour Monsieur A ne l'est pas pour Madame B. J'ai beaucoup compris cela en observant travailler des artisans de qualité dans le bâtiment - il en existe, travailleurs dans l'esprit des compagnons. Je pense à une personne très proche : comment se fait-il qu'il lui paraisse si évident de tenir la scie ou le marteau de cette manière, si évident d'assembler 2 parpaings, si évident de poncer et monter des étagères bien droites, alors que je me sens gauche pour le faire. L'expérience, l'expérience bien sur. Encore une porte ouverte.

Et bien, je prétends qu'en matière de management, en matière de clarification des priorités, en matière d'anticipation, en matière d'écoute véritable, etc... il a y quantités de portes ouvertes qu'il me plait d'entrouvrir. Et j'affirme que si petites soient-elles, ces portes surgissent parfois comme des révélations pour mes interlocuteurs. Parlant technique à longueur de réunions et de relations de travail, on ne clarifie que très peu ce qui peut nous rendre plus aiguisé dans nos pratiques : plein de portes à ouvrir...

Je laisse à mes lecteurs et clients le soin de travailler les analogies et de tenter des expériences décalées en s'inspirant de mes portes ouvertes. Etre proactif sur son propre chantier de changement personnel, voilà une sacré porte ouverte à bousculer... et elle est rudement lourde à tourner sur ses gonds.

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23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 18:38
En ces temps d'élections municipales qui approchent, les débats apportés sur la table par nos futurs représentants seront, j'espère, à la dimension des nouveaux défis qui concernent chaque être pensant de notre petite planête.

J'en profite donc pour faire la promotion d'une démarche proposée aux mairies par mon frère Nicolas. J'ai retenu
, comme accroche pour cet article, le coeur de sa lettre "l'avenir de nos enfants comme impératif éthique", car cette formulation me parait aller direct au vrai but.

Voici sa proposition (cliquez sur la lettre pour la télécharger) :

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Téléchargez la brochure d'offre de Nicolas.

Avec son expérience de vie, d'animateur, et sa quête philosophique permanente, je pense que Nicolas est excellemment placé pour aider nos élus à prendre le recul sur ce thème. Faites-lui signe, ou faites-moi signe si ce programme est susceptible d'intéresser quelqu'un de votre entourage...

Encouragez les entrepreneurs individuels, ils ont l'insolence et la pertinence de la liberté d'expression !
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14 janvier 2008 1 14 /01 /janvier /2008 09:23
Zut encore le réveil qui sonne ! Décidément cette journée commence mal...
Flute, les enfants  trainent à se préparer, ca continue...
La  barbe, plein de gens perturbent le traffic au lieu de me laisser le macadam, on n'est jamais tranquille...
C'est quoi cette réunion à 9h, personne ne m'avait prévenu...
Le fournisseur, encore ce fournisseur en retard, vous parlez d'un partenariat, jamais fiable...
Quoi, ce collaborateur est malade, mais ça met tout le programme en l'air...
Ca y est mon manager m'a encore mis 12kg de dossiers sur la table, et je ne peux rien faire...
20 minutes que j'attends à l'accueil chez mon client, pourquoi personne ne me respecte...
Et bing les transport en commun en grève,
à quelle heure je vais arriver à la maison...
Pour combler le tout, il n'y  a plus de beurre dans le frigo, je vais manger les radis au  naturel...

Bon vite dodo, ils m'ont tous pourri ma journée !

La liste est longue chaque jour de ces paquets de problèmes que les autres nous déversent, avec sadisme, dans notre chariot. Et comme nous sommes de pauvres victimes, il ne nous reste plus qu'à nous plaindre. Les autres... mais qui a inventé cette engeance.


C'est sur le ton léger que j'aborde la question, mais c'est pourtant le symptôme que j'entends le plus souvent : "mes problèmes, c'est les autres". Or, si on part du principe que le seul chantier possible est soi-même, que les seules choses que je peux changer, c'est mon comportement et le regard que je porte sur les événements, sur la gravité exagérée des menus désagréments, sur ma responsabilité à me mettre dans des situations d'urgence, il est tentant de regarder chaque perturbation comme une opportunité à changer. Les autres ne vont-il pas alors modifier leur positionnement, dans ma perception du réel ou même  dans la réalité...
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11 septembre 2007 2 11 /09 /septembre /2007 09:41
Je n'ai pas écrit depuis longtemps... Pris par les événements, pris par la rentrée, pris par de nombreux projets en effervescence. Vendredi dernier, j'assistais au forum des entrepreneurs à Marseille, dont les thèmes s'articulaient autour de "rêver". Mot absent de nos cultures d'entreprise, il était pourtant dans le titre de tous les ateliers : "rêver l'école", "rêver sa vie", "rêver le monde" sont les 3 débats auxquels j'ai participé.

Tout le monde s'accordait à dire, avec plus ou moins de brio - j'ai beaucoup aimé Claude Allègre pour sa vivacité d'esprit, sa capacité à rentrer dans le mamouth, sa verve éclairante - que le rêve est source de créativité, donc une valeur importante pour l'innovation.

J'ai pensé au collège où sont 2 de mes enfants : quel est le rêve ou la composante créative qu'on leur met au menu ? Emportés dans la vague du zapping, de la consommation à gogo, de la technologie jetable et du prêt-à-penser bien marketé, ils se retrouvent face à une majorité de profs qui depuis longtemps ont enfoui leur enthousiasme et leur propre créativité derrière des certitudes non-négociables. Tous les profs ne sont pas comme cela fort heureusement. Claude Allègre a fustigé le corporatisme et l'immobilisme d'une profession qui, non contente de maitriser le développement intellectuel de nos ados, noyaute, par progéniture interposée les grandes écoles... Il y a apparemment moins de diversité dans les populations de nos écoles supérieures qu'il y a 20 ans, et les enfants de profs occupent la place. Pendant l'atelier, mon rêve à moi était que l'on propose une loi, totalement scandaleuse pour ceux que le monde marchand rebute : chaque prof devrait passer au moins un an en entreprise avant de démarrer sa carrière, avec un vrai job de vrai salarié... la loi exigeant, pourquoi pas, une piqûre de rappel d'un an tous les 10 ans par exemple ! Mais tout cela ne me regarde pas et restera dans le domaine de l'irréalisable...

Un peu plus tard, l'éternelle ritournelle "c'est la faute des gouvernants, c'est la faute des politique, c'est la faute des..." a refait surface dans les débats. J'ai pris le micro - je ne peux pas me retenir :-)

"Si le rêve est source de créativité, il ne prend toute sa valeur que lorsque l'on risque. Sans la prise de risque, on se déssèche. Avec le risque, on enrichit sa vie. Nous sommes tous des éducateurs. Quelle prise de risque autorisons-nous à nos enfants ? Quand j'avais 10 ans, je partais avec 3 cousins faire une semaine de vélo au fond de la Bretagne avec un budget de 8FF par jour, et les parents n'avaient pas le téléphone. Ose-t-on encore laisser nos enfants tenter l'aventure ? Avant de vous coucher ce soir, prenez un papier et écrivez les 10 événements de votre vie qui vous ont le plus marqués : analysez les rêves auxquels ils faisaient référence, et rappelez vous les risques que vous avez pris pour les réaliser..."

Bien sur, il ne s'agit pas de se mettre benoitement en danger pour claironner "je prends des risques, je prends des risques". Mais n'est-ce pas en sortant de sa "zône de confort" ou "zône de confiance" que l'on écrit les plus belles pages de sa courte vie...
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13 juin 2007 3 13 /06 /juin /2007 08:16
J'ai reçu cette question hier : "a-t-on des capacités innées pour manager..."

Voici ce que j'ai répondu :


"Ce que j'en pense...
On ne nait pas manager, on le devient. On le devient par l'expérience, la formation, la remise en cause perpétuelle, la capacité à prendre des risques, le travail de communication, de synthèse d'écoute, etc...

Cela dit, et malgré toutes les qualités intrinsèques que l'on peut avoir, certains sont plus "doués" que d'autres. Je pense que je n'aurais jamais pu battre Noah au tennis, même si j'avais eu le même cursus que lui. Mais tout le monde n'a pas besoin de devenir Noah :-)

On peut agir dans son quartier, son service, son département, faire avancer les choses et surtout sentir qu'on bâtit sa vie en servant à quelque chose et en développant ses capacités à devenir plus libre et heureux.

Tout un programme..."

Clin d'oeil à Marie-France
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14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 11:40
En fin de mission de coaching, et aussi parfois en cours de mission, je demande le feed-back de mes clients. Perçoivent-ils des évolutions, comment se sentent-ils, quels sont les apports de nos travaux, y a-t-il des impacts "co-latéraux", etc... Je suis toujours préoccupé de la valeur ajoutée, en éveil par rapport à la densité du dialogue et des évolutions perceptibles ou induites. Ces retours sont donc des enseignements majeurs.

Je reste à chaque fois impressionné par les retours, les mots employés, voire les conséquences profondes ou les liens de cause à effet énoncées par mes clients. En vrac, quelques feed-back :

- c'est un soulagement...
- je n'ai plus d'eczéma...
- mon stress a considérablement baissé...
- je n'ai plus d'actions urgentes...
- les choses se sont mises en place plus vite que prévu...
- je dors mieux...
- je suis davantage sur les sujets stratégiques...
- je suis plus à l'écoute...
- ils ont retenu ma proposition...
- j'ai tenté...
- j'arrive à dire un non positif...
- maintenant, je négocie avec mon chef...
- mon plan est plus clair...
- etc...

Je mesure l'importance de ces retours. En même temps, cela me rappelle la responsabilité que représentent l'écoute et le conseil. Les frontières entre accompagnement personnel et manipulation sont fines...  La complaisance n'est pas de mise, l'intérêt général et d'adéquation entre ambition et moyens doivent entre'autres gouverner le fil d'Ariane de l'accompagnement. Tout en restant un compagnon extérieur, non impliqué, détaché des amalgames entre ses propres expériences et celles de ses clients. 

Un défi permanent...
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Depuis 2004, je partage des expériences, anecdotes, outils de management : optimiser son temps, manager son équipe, manager son chef, diriger un projet, travailler en intelligence collective. Je propose une démarche inspirée de la vie professionnelle et de la vie au sens large. J'espère que vous y trouvez de l'inspiration pour devenir le manager que vous rêvez d'avoir. Bonnes lectures...

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