Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
26 mai 2014 1 26 /05 /mai /2014 21:44

Quel que soit son secteur d’activité, un entrepreneur se doit d’être présent sur Internet. Son nom de domaine et son site seront sa carte de visite sur le Web. Le site devra refléter le meilleur de lui-même et de son activité. En outre, le site aura également pour fonction de faciliter le contact, et la communication avec les clients, fournisseurs et investisseurs. C'est pour cela qu'après des années de blogging informel, j'ai lancé mon autre plateforme je suis manager, qui traite de manière plus professionnelle l'intelligence collective dans le management.

Le site vitrine de l’entrepreneur

Avoir un site est un enjeu stratégique pour l’entrepreneur, quel que soit son secteur d’activité. Car son implantation sur le territoire de l’Internet renforcera son image, sa crédibilité, et lui permettra d’attirer de nouveaux clients. Les sites dédiés aux activités professionnelles, et aux entreprises sont couramment dénommés sites vitrines. Ces sites ont pour fonction de présenter l’entrepreneur, son activité, son savoir-faire, et d’afficher son dynamisme. Le site vitrine permet également aux clients et aux fournisseurs d’entrer en contact avec l’entrepreneur, par le biais d’un formulaire de contact, ce qui offre à l’entrepreneur la possibilité de démontrer son professionnalisme en répondant rapidement, une qualité qui est très recherchée, dans un monde où tout va très vite. Le site vitrine fournit aux visiteurs des réponses à toutes les questions qu’ils peuvent se poser, puisqu’il permet d’afficher en temps réel les informations importantes concernant son activité, ses produits et ses tarifs.

Les caractéristiques d’un site d’entrepreneur

Le site d’un entrepreneur peut s’adresser à une ou plusieurs catégories de personnes. Il est donc important de déterminer à qui s’adressera le contenu du site, avant sa création. Le contenu et les différentes sections offertes varieront selon que le site s’adresse à des clients, des fournisseurs ou des actionnaires. Premier représentant de l’entrepreneur sur Internet, le site doit être optimisé, afin de procurer une navigation fluide, agréable et de faciliter la consultation des différentes informations. Il est important de créer un véritable lien avec les lecteurs. Dans ce sens, le modèle du blog est pertinent puisqu'il pousse l'entrepreneur à dévoiler sa vision, et à créer un riche échange avec ses lecteurs. Bien conçu un site Web rapportera facilement des clients et de l’argent à un entrepreneur, en contrepartie d’un investissement relativement faible.

L’accès à une clientèle mondiale

Un des très grands avantages qu’apporte une présence sur le Web est l’accès à une audience mondiale. Quelle que soit son activité, dès que l’entrepreneur s’installe sur le Web il étend son audience au niveau mondial. Selon ses ambitions et ses objectifs, il lui sera possible d’optimiser son site afin de se focaliser sur une audience locale ou régionale. On arrive ainsi au point le plus important concernant la création d’un site Web. Un site ne sera pas visible tant qu’il n’aura pas été répertorié par les moteurs de recherche. Il est donc nécessaire de faire usage de techniques variées, que l’on dénomme généralement optimisations pour les moteurs de recherche. Afin d’être bien vu et d’être bien positionné dans les pages de résultats des moteurs de recherche, il est important d’optimiser le contenu du site, en plaçant notamment les mots les plus utilisés dans le secteur d’activité visé, dans certains textes du site. Il existe une multitude d’options d’optimisations, ainsi en influant sur certaines variables du site, et en incluant certaines informations dans les textes du site, il est possible d’informer les moteurs de recherche, que l’on désire apparaître sur les pages de résultats locales, plutôt que sur les pages nationales ou mondiales. En agissant ainsi, on permet aux sites d’avoir un meilleur positionnement dans les pages de résultats locales.

Partager cet article
Repost0
23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 09:46
Hier catastrophe : en tentant de rationaliser mon carnet d'adresses entre plusieurs sources (iphone, le carnet de mon Mac, Plaxo, MobileMe et Google), j'ai tout perdu. J'avais déconnecté mon iphone pour garder une sauvegarde : précaution insuffisante, je n'ai pas trouvé le moyen d'imposer à mon Mac les adresses de mon iphone, et crac l'iphone vide après plusieurs bricolages roglodriens. Bien entendu, je sais qu'il faut faire une archive avant de faire de genre de manipulation à risques, mais comme on se croit toujours plus malin que les autres, on fait l'acrobate sans filet...

Quand lors de la dernière tentative de synchronisation, j'ai vu tout disparaître, la sueur de l'angoisse a perlé sur mon front enfantin : glops, des centaines de contacts perdus, des années de patientes saisies envolées. Plus rien sur google, plus rien sur plaxo, plus rien sur mon mac, plus rien sur mobileme, plus rien sur l'iphone. Tout le monde synchronisé à "carnet d'adresses vide".

Pourquoi me direz-vous ai-je autant de plate-formes ? C'est l'histoire justement : iphone et le Mac, c'est bien normal. Google, parce que j'ai tenté à l'ancienne époque du PC de synchroniser là mes contacts, et j'utilise gmail. Plaxo car, c'est un outil de synchronisation fort efficace. MobileMe enfin, parce je souhaite découvrir cette nouvelle offre d'Apple, qui a en ligne le "look" du Mac pour les outils tels que agenda, calendrier, et espace de sauvegarde en ligne.

Quand la goutte de transpiration fit descendre l'angoisse le long de ma colonne verticale (et vertébrale), je fermai les yeux, pris une grande respiration, et me dis intérieurement : "il y a forcément une solution à ce grand malheur". Bien sur, je me voyais reprendre dans tous les courriels reçus les adresses de mes interlocuteurs habituels, resaisir les quelques cartes de visite que j'ai gardées, réintégrer mes contacts LinkedIn et autres Viadeo. Fastidieuse entreprise ! Et puis, fort de la conviction que on retrouve tout sur le net, j'ai entrepris des recherches de restauration possible sur toutes les plate-formes sus-nommées.

Le vainqueur est :

En fouillant et refouillant, j'ai souscris à la version premium de Plaxo (une trentaine d'€ l'an, et gratuite les 30 premiers jours), et trouvé une fonction de restauration de mon carnet d'adresses, que j'avais pourtant totalement détruit. J'ai même réussi à tout récupérer avant ma confcall de 18h, évitant la honte des appels multiples et dérivés pour retrouver le numéro de mon correspondant. Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, cette confcall pourrait s'avérer positive :-)

Quelles conclusions en tirer ?

1 - ne jamais jouer avec son carnet d'adresses sans sauvegarder une archive préalable !
2 - utiliser les outils du Mac pour qu'une sauvegarde automatique du carnet soit faite chaque jour (Time Machine je crois) !
3 - conserver Plaxo car c'est un moteur de synchronisation très efficace, et manifestement tenu par des pros !
4 - utiliser A to G pour renvoyer en 2 minutes tout son carnet d'adresses sur Google mail, qui refuse de se synchroniser dans les 2 sens - A to G est une astuce pour les utilisateurs de Mac.

Bon, ce n'est pas tout, avec la crise, j'ai quelques centaines de personnes à contacter...
Buena giornata...
Partager cet article
Repost0
11 juin 2008 3 11 /06 /juin /2008 07:58
Il est de notoriété publique que je suis fan des produits Apple... Mais, ainsi que je le disais à l'un de mes clients récemment, il vaut mieux avoir des amis qui nous disent la vérité. Ceux qui ne nous la disent pas sont des flatteurs, et les flatteurs, ça finit par coûter cher...

Lassé des problèmes de synchronisation entre mon téléphone pocket PC avec mon Mac, j'utilise donc depuis quelques jours l'iphone d'Apple. Comme d'habitude, sur le plan ergonomique et pour ce qui est de la finition, le produit est remarquable. De nombreuses fonctionalités et l'accès à internet, tout cela fort adroitement commenté et "publicisé", apparaissent comme différentiateurs et convaincaints. J'ai un peu de mal à me passer du stylet (la reconnaissance d'écriture ne fait pas partie des choix retenus), et j'apprends à écrire avec une puis deux mains sur un écran tactile redoutablement sensible.

Il me faut cependant relever plusieurs hics, qui seront j'espère corrigés dans les temps à venir. A ce propos, j'ai vainement cherché sur internet le plan de développement des fonctions de l'iphone, sans succès. Si l'un de mes lecteurs connait ce plan, cela m'intéresse.

2 premiers hics qui me gènent fort pour ce qui concerne la gestion de mon temps :

a - il n'y a pas l'outil "tâches" intégré de la messagerie ical. C'est fort malencontreux car, associé aux engagements d'horaires, les tâches à faire pour telle ou telle date me viennent en tête à n'importe quel moment du jour ou de la nuit. Je n'ai pas toujours mon macintosh sur moi... et la synchronisation des tâches est absolument nécessaire.

b - dans l'agenda de l'iphone, il n'y a pas de vision hebdomadaire. Franchement ennuyeux, car la vision en "liste" ne remplace pas l'affichage d'une semaine : en effet, l'affichage en semaine permet une observation relative de l'emploi du temps. Ainsi, quand je prends un engagement, je regarde toujours, en un coupe d'oeil, quelle est la charge prévisionnelle de la semaine concernée. Apple a besoin d'un consultant en gestion du temps, c'est manifeste !

2 autres hics sont consternants : il n'y a pas de fonction couper/copier/coller,
pas d'outil de recherche. Si l'absence de la première gène car elle oblige à des resaisies permanentes, la deuxième mérite aussi un carton rouge : ne vous arrive-t-il jamais de vous souvenir du prénom de quelqu'un mais pas de son nom (ou l'inverse) ? Avec un outil de recherche, au moins dans le carnet d'adresses, le problème est résolu en une fraction de seconde.

L'absence de ces fonctions de base me ferait mettre une fort mauvaise note au produit, n'était son exceptionnel design, ergonomie et interface intuitif. Je mise sur la lucidité des visionnaires d'Apple pour redresser ces torts au plus vite, et que ce soit accessible en téléchargement.

NB : j'ai moyennement apprécié d'apprendre que l'iphone que j'ai acheté il y a 2 ou 3 semaines, a vu son prix divisé par 2,5 à présent. Grrrrrrrrrrrrrrrrrr !
Partager cet article
Repost0
26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 11:48
Depuis septembre 2007, j'ai remis le doigt dans l'univers du Macintosh. Perdu depuis des années dans le monde cruel de Microsoft, je consacrais un temps de plus en plus important à tenter de faire marcher des machines et des logiciels qui résistaient encore et toujours à ma dexterité informatique. Je maintiens mon argument : l'affaire Microsoft est le plus gros hold-up de l'histoire de l'humanité. Les systèmes sont instables, l'ergonomie est souvent discutable et toujours à la traine. Des centaines de millions d'utilisateurs souffrent de dysfonctionnements, et des millions de techniciens vivent d'une maintenance approximative, qui en général ne tient pas longtemps. Et Microsfot fait des profits insolents depuis 30 ans. Bref hold-up et prise d'otages...

Quand on vient (ou revient pour ce qui me concerne) au monde Apple, tout n'est pas sans bousculer les vieilles et mauvaises habitudes. En 1980, à l'âge de 20 ans, mon frère disparu m'avait revendu pour une bouchée de francs une vieille Peugeot 204. Elle me rendit de fiers services. Mais il me souvient que le passage de la seconde vitesse à la troisième était difficile : des cracs de la boite de vitesse aux obligations de double débrayage, je domptais la bête en m'habituant au dysfonctionnement. Un jour, forte de ses 200.000 km consommés, mon premier amour mécanique rendit l'âme. Quand je fis l'acquisition d'un nouveau bolide, la boite de vitesse fonctionnait bien : pas de cracs, pas d'habiles manoeuvres pour passer de seconde en troisième, ça marchait quoi... Avec Microsoft, les utilisateurs et autres réparateurs sont tellement gazés aux dysfonctionnements qu'ils pensent que c'est normal que les vitesses craquent. Ils justifient même les cracs. Ce monde là de la justification permanente, ce monde du sparadrap éternel, ce monde cruel, j'espère le laisser derrière moi.

Après la boiboite Mac qui m'a permis de tester mon changement d'univers, j'ai maintenant acheté un MacBook, un portable. En vrac, voici quelques-uns des arguments en faveur de ce choix :

- Quand on branche un périphérique, ça marche !
- Quand on a un problème (le monde n'étant nulle part parfait), on trouve rapidement une solution !
- Si le système plante (1 fois en 6 mois), il redémarre, tout est de nouveau en ordre !
- L'ingéniosité d'ergonomie de tout le système est spectaculaire et intuitive !
- Le prix est compétitif pour le niveau de qualité : environ 600€ la boiboite, 1000€ pour le portable !
- la compatibilité des logiciels est satisfaisante si on utilise openoffice et même la suite Apple (Keynote, Pages, Numbers). A propos, la suite Apple coûte quelques dizaines d'€, alors que la suite bureautique Microsoft en coûte plusieurs centaines !
- L'intégration à l'univers internet est d'emblée la norme !
- Enfin, quand on achête un Mac, on a l'impression de se faire un cadeau. L'emballage est joli, le design de tous les produits est fort soigné comme chacun sait !
- Dois-je rappeler que les mots "virus", "défragmentation", "fire-wall", "spywares" i tutti quanti sont des mots inconnus de l'utilisateur Mac !

Quand je vire un fournisseur ou un collaborateur, dans 90% des cas, mon seul regret est de ne pas l'avoir fait plus tôt. On accumule les indices, on se pose la question et on retarde l'échéance pour 1000 et une mauvaises raisons. Pour le retour au Macintosh, j'ai attendu 12 ans de trop !

(je dédie ce message à mon cher Gilles)

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2007 1 10 /12 /décembre /2007 12:02
J'ai découvert le Macintosh en 1985... Une révélation !  Un ordinateur simple et fiable, la littérature en  fait l'écho depuis plus de 20 ans.

Arrivé chez Gemplus en 1989, je n'ai pas eu d'ordinateur avant 1992 ! Boite high tech, mais le président pensait que les commerciaux perdraient leur temps s'ils avaient une bécane (en leur temps, d'autres patrons ne voulaient pas donner de téléphones à leurs ouailles). Je me rappelle donc ces devis qui restaient dans la pile de mon assistante, débordée, que je finissais par reprendre au stylo et envoyer par fax. Epoque héroïque.

Un jour, un manager italien et moderne est arrivé :"ordinateur pour tout le monde" a-t-il rapidement décrété. Tétu comme une bourrique, j'ai réussi à le convaincre d'accepter, au milieu d'un monde nourri à la pensée unique Microsoft, d'acheter un Macintosh. En 3 ans, je n'ai pas demandé une seule fois de support au département informatique. Je me débrouillais seul, y compris lors de mon affectation aux Etats-Unis où je découvris la connexion internet et l'usage de la messagerie électronique.

Mais en 1995, j'embauchai un jeune loup fort sympathique et très commercial. Il me convainquit d'abandonner mon Mac, qui arrivait à essouflement. L'argument de poids : "tu vas voir, windows 95, c'est comme le Mac, et tu seras compatible avec tout le monde". J'ai alors craqué, et rapidement déchanté. Windows 95 ne valait pas Mac 85 !

12 ans ont passé depuis ce triste jour. J'ai créé ma boite et continué de supporter un sytème d'exploitation que pour 1000 raisons, je n'ai jamais aimé. Supporté windows, par peur de l'incompatibilité, peur de la nouvelle courbe d'apprentissage pour me remettre à Mac, influencé par le "tout Microsoft" qui ne laisse pas de place à la discussion, mais demande beaucoup de temps pour les réparations. En 2006, j'ai voulu racheter un Mac portable. L'accueil chez Apple et chez un revendeur m'ont refroidi. Les réponses à mes questions sur le passage du PC au Mac étaient largement insuffisantes, et mon téléphone portable (windows lui aussi) demeurait un frein majeur au basculement. Début 2007, j'ai fait une tentative très prometeuse chez Linux, et puis j'ai renoncé. L'été 2007 a été fatal pour Microsoft : de nouveau, j'ai eu de grave troubles du comportement de mon vieux PC (qui date de l'été 2006). Par ailleurs, j'ai téléchargé une version d'Office 2007 à l'essai. J'ai alors fait le constat qu'il me fallait tout réapprendre, et que les compatibilités n'étaient pas parfaites.

Alorsmac-mini.jpg, un joli jour d'octobre, décidé et tremblant, je me suis trimbalé jusqu'à la FNAC la plus proche. Le revendeur était sympa mais peu compétent. Nonobstant, je ne vacillai pas dans ma décision, mais, ne voulant pas faire frémir les finances de ma boite, j'optai pour une drôle de boite de 1312,20 cm3, à 600€. Tout excité, je ramenai, dans son joli écrin, l'étrange bestiole. Et là, le miracle Mac se produisit : connexions à l'écran, clavier sans fil, souris sans fil, imprimante, tout cela se produisit sans incident et pratiquement sans délai. Aucune question absconne du type :"êtes-vous intéressé pour exécuter la procédure 76bnh//oo58b ?" Rien que des échanges verbaux compréhensibles.

M'enhardissant, j'ai analysé puis acheté la suite bureautique d'Apple "iWork". Un nouveau monde... Une manière d'aborder le tableur totalement différente, un traitement de texte wysiwyg ("what you see is what you get" comme depuis toujours sur Mac), et "Pages" pour faire des diapos, simple et de bon goût. Quant à la compatibilité avec le reste du monde, no problem : j'ouvre et j'exporte les documents en provenance ou vers Microsoft, ou en pdf. Du coup, je ne sais plus si virrusse prend 2 "r" ou 2 "s", firewalle prend bien un "e" à la fin, et à quoi sert d'appuyer à la fois sur 3 touches...

Et je ne crois pas avoir encore fouillé tous les contours de mon nouveau Mac.

NB : depuis octobre, je passe beaucoup plus de temps sur mon métier... CQFD
Partager cet article
Repost0
10 octobre 2007 3 10 /10 /octobre /2007 10:00
Ma maman (4 fois 20 ans demain...) parle de ces "cailloux blancs" qu'on voit sur notre route... d'autres parlent de hasard, de signes, de coup de bol, and so on...

Ce matin, je reçois un message d'un lecteur "régulier" de mon blog (je suis flatté) qui me parle et m'invite à visiter son projet de "1er service de partage en ligne de slideshows (PowerPoint, OpenOffice, PDF) et de vidéos entièrement dédié au monde professionnel : www.slideo.com" (SIC). Ca m'intéresse, je visite le site. Je choisis au hasard une présentation pour voir la qualité, rapidité, convivialité de l'outil. Et je tombe sur la présentation de Bazile Telecom
. Je parcours avec intérêt le contenu de ce diaporama car il me rappelle étrangement quelque chose : je m'aperçois qu'il s'agit du projet dont l'un de mes clients est co-fondateur. Il m'en a parlé il y a 10 jours. Et d'ailleurs le concept est intéressant... pour ma maman ! The world is so small...

A ce propos, je vous recommande le détour par slideo, le concept me parait très intéressant à fouiller et utiliser. Et n'oubliez pas d'y consulter la présentation (in English, my Lord) d'Innovation Consultants.

NB : vous avez tous les indices pour trouver qui est le client dont je parle dans cet article. Enigme en ligne : tachez de l'identifier... 1€ de récompense (+ ma considération distinguée) au premier qui trouve...

Partager cet article
Repost0
27 juin 2007 3 27 /06 /juin /2007 11:31
Elle était belle mon illusion... Il fut considérable mon investissement. C'est la déroute, Waterloo, je rappelle toutes mes troupes, j'abandonne et j'attends des médecins, penchés sur mon maigre régiment depuis 4 jours, de me dire ce qui va rester de l'héroïque tentative.

J'ai franchi la ligne jaune... en voulant revenir en arrière, l'ennemi guettait, tapi dans l'ombre. La plus petite erreur devait être fatale. Heureusement, j'avais ménagé quelques sauvegardes à l'arrière, mis à l'abri femmes et enfants. Mais bon, adieu la liberté, c'est la Restauration... durera-t-elle 4 jours ou 4 ans ou 40, je l'ignore.




En voulant maladroitement désinstaller la partition Linux/ubuntu (voir mes articles à ce sujet), de mon pc la semaine dernière, tout a planté : plus moyen de redémarrer windows, plus moyen de le réinstaller avec mes disques originels. Un copain en passant, a repéré que l'essentiel de mes données avait l'air intact grace à un disque Linux/knoppix, mais il fallait récupérer les fichiers un par un !

J'ai donc laissé mon pc chez un technicien du bout de mon quartier vendredi dernier. Depuis, il se bagarre pour diagnostiquer la bête. Ce soir, mercredi, il devrait y voir plus clair m'a-t-il dit, mais il y a des zones endommagées sur le disque, qui chauffe anormalement et qui plante régulièrement, rame, ne veut pas correctement accepter les mises à jour, etc...

Heureusement, toutes mes données sont sauvegardées chez neobe, et mes mails chez google. Mais on ne peut pas quitter Microsoft quand on est tout petit, qu'on se le dise, si on n'est pas prêt à affronter un gigantesque bastion, hérissé de considérables défenses et d'oubliettes profondes.

Fini, les 100 jours... vive le Roi.
Partager cet article
Repost0
4 juin 2007 1 04 /06 /juin /2007 09:00
J'ai récemment écrit "au revoir Microsoft, le changement avec Linux..."

Prudent, j'avais écrit "au revoir". J'ai malheureusement dû faire marche arrière sur bien des points. A mon grand regret, j'ai abandonné certaines luttes pour lesquelles j'ai passé de très/trop nombreuses heures sur Linux, par exemple :

--> synchroniser mon pocket pc avec un logiciel d'agenda/carnet d'adresses;
--> mettre une résolution d'écran suffisamment fine;
--> faire marcher open office impress de manière aussi efficace que powerpoint;
--> faire marcher mon scanner;
--> réinstaller skype;
--> sauvegarder automatiquement mes données sur internet chez neobe...

Oh bien sur, j'ai compris le principe. On cherche du support sur le web et on trouve des tas de solutions préconisées par des bidouilleurs de génie. Sauf qu'il faut la plupart du temps se mettre en mode "terminal" (vous vous rappelez du style c:/), et enchainer des commandes obscures au risque de planter le système. Cela prend un temps fou, sans garantie de résultat.

Me revoici donc à passer du temps sur Microsoft XP. J'ai cependant changé certaines pratiques : j'ai abandonné outlook et j'utilise désormais google mail et google agenda.
Pourquoi me direz-vous, petits curieux... Parce que les fonctionnalités et la puissance de recherche de google m'affranchissent de classer mes courriels. J'utilise désormais la fonction de "suivi" (petite étoile jaune) pour conserver au premier plan mes actions en cours. Et pour retrouver n'importe quel message, je passe par l'outil de recherche. Cette méthode est incroyablement plus efficace que toutes mes bonnes vieilles méthodes de classement. Par ailleurs, j'ai accès à mes messages - et donc à mon plan d'actions en cours - de n'importe quel pc connecté.

Objection votre honneur : "comment faites-vous pour lire vos mails dans les trains et les avions ?" La réponse est simple : depuis 15 ans, je ne dépasse que très rarement le seuil des 20 messages reçus par jour, des 20 messages/actions en cours". Donc, n'étant pas submergé, je profite des voyages professionnels pour faire autre chose que répondre à mes messages en retard. D'autre part, rien ne m'empêche de récupérer sur un logiciel de messagerie quelconque le ou les messages que je veux travailler dans le train. Enfin, je peux récupérer mes messages gmail sur mon téléphone portable. Objection rejetée !

Alors objection sur l'agenda votre honneur : "il n'y a pas de todo list ou liste de taches sur google agenda". La réalité est que j'ai très peu de taches. En effet, la très grande majorité des choses que je dois faire est reportée dans mon agenda comme une plage de travail. C'est vrai que j'aimerais bien quand même voir une todo list chez google agenda, mais le fait d'avoir un agenda en partage avec mes proches, et accessible sans réseau local est un argument de poids. Objection partiellement acceptée.

Objection sur le carnet d'adresses alors ! Objection retenue, je n'ai pas encore trouvé d'outil idéal pour synchroniser mes adresses gmail et mon pocket pc. Mais je m'attends à voir évoluer rapidement les choses. J'utiliser googsync pour synchroniser mon agenda google avec mon pocket pc qui parle d'évolutions dans ce sens, et j'ai testé également scheduleworld. Il faut que je surveille tout cela.

Je continue aussi d'observer Linux, en conservant la "partition" que j'ai installée. J'ai trouvé l'environnement très sympa, une richesse de fonctionnalités disponibles qui ne cesse de s'élargir, et pas d'ennuis de sécurité. Je pense qu'on est très proche du basculement accessible pour les néophytes... Je remets à bientôt le grand chambardement... soupirs....



Partager cet article
Repost0
23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 12:21
Il y a longtemps que j'y pense, je n'avais pas encore osé. J'avais fait quelques pas pour sortir de Microsoft, j'ai fait un grand bond. Depuis maintenant 15 jours, j'utilise Linux Ubuntu, je n'utilise plus aucun logiciel Microsoft, et je vis toujours.

Pour vaincre la bête, j'ai d'abord observé mon frère Nicolas (philosophe, musicien, physicien, écrivain, théologien... mais aussi bricoleur informatique indépendant à ses heures) en train de télécharger Ubuntu, le sauvegarder sur CD-Rom, l'installer sur mon PC et traficoter 2 ou 3 ajustements. Après cette phase d'observation, j'ai pris le taureau par les cornes.



Premier constat : le résultat est franchement positif. L'ergonomie de l'interface Ubuntu est très conviviale. Bien sur, l'environnement change, certains mots sont différents. On s'y retrouve pour peu qu'on n'ait pas peur de rechercher sur Google les manœuvres que l'on souhaite effectuer avec ce nouveau système d'exploitation. Il ne faut pas hésiter à suivre pas à pas des instructions pour procéder à certains réglages (
je pense par exemple à la résolution de l'écran puisque j'utilise un 19 pouces), y compris en se mettant en mode "terminal"... Cela parait complexe au départ, mais on trouve des quantités de forum de support d'utilisateurs qui s'en sortent. Un peu de cambouis sur les mains, certes, mais je pense que ça vaut le coup.

Mon principal obstacle a été la synchronisation avec mon pda. J'utilise un Qtek pocket pc, choisi en particulier pour sa taille. C'est un téléphone pda très intégré et sans clavier. J'en suis content à l'exception près du système d'exploitation Microsoft qui gère les fichiers de manière complexe et illogique, comme c'est l'habitude de la maison. Il existe diverses solutions proposées sur les forums pour arriver à faire cette synchro, mais en toute honnêteté, je n'ai pas réussi à m'en sortir. Pourtant, cette synchro est essentielle pour moi, et aussi pour mon métier de consultant/formateur en optimisation du temps et management de projet. En batifolant sur les options Ubuntu, j'ai trouvé un utilitaire de synchro avec le Palm. J'ai testé : bingo, la synchro a marché. J'ai donc repris mon ancien Palm que j'aimais beaucoup pour sa simplicité et so
n efficacité. J'évoluerai sans doute bientôt vers un téléphone/Palm OS.

Récupérer mes courriels - que j'avais préalablement transférés sur Thunderbird a été simple, même si je n'ai trouvé que le transfert dossier par dossier. Je le fais donc au fil de l'eau, en fonction de mes besoins.

Mon passage à Linux est irréversible. En réalité, je ne retourne quasiment plus sur l'environnement Microsoft. En synthèse :

- j'utilise la messagerie "Evolution" d'Ubuntu qui a toutes les fonctions essentielles d'Outlook;
- je constate avec bonheur que mon fichier financier construit sur Excel est passé d'une taille de 2Mb à 200Kb en le récupérant sur OpenOffice (ce qui en dit long sur l'accord tacite entre Microsoft et les constructeurs de hard pour encombrer nos mémoires d'ordinateur), tout en ayant les mêmes données et fonctions;
- je ne m'inquiète plus pour les virus et autres défragmentations de disque;
- j'ai un système d'exploitation gratuit avec force support en ligne de personnes non informaticiennes (et donc très pragmatiques pour expliquer comment se sortir d'une ornière);
- je découvre tous les jours des fonctionnalités sympas (exemple : en cliquant sur la date de la barre de menu, mon agenda + taches de la journée s'affichent);
- des quantités de choses se passent plus rapidement qu'avec Microsoft, et les erreurs ne plantent apparemment pas tout le système;
- le partitionnement mémoire imposé par Linux - un espace pour le système, un espace pour la session de travail, un espace pour les données - donne une structure qui me parait  bien plus solide que le foutoir Microsoft où tout est mélangé et où l'on craint sans arrêt de détruire des fichiers sensibles, et où l'on se demande comment se débarrasser de certains autres. Sans compter ce domaine magique qu'est la base de registre que personne n'a été capable de m'expliquer en 12 ans de Microsoft - "fais gaffe à ta base de registre" était l'unique instruction systématique de mes interlocuteurs.

Tout n'est pas facile dans la bascule vers Linux, et je n'ai pas encore tout réglé (par exemple, je n'ai pas encore configuré mon réseau local). Je me suis bagarré pendant une semaine pour trouver un équilibre. Je suis parti de zéro, sans aucune connaissance de ce nouvel environnement et avec des exigences fortes.

Je ne regrette pas mon choix, c'est comme si j'avais conquis un nouveau périmètre de liberté et développé la dimension plaisir...
Partager cet article
Repost0
19 mars 2007 1 19 /03 /mars /2007 13:44
Au milieu des années 1990, j'ai embauché un chef de projet très tonique. A force d'argumentation, il finit par me persuader que "Windows 95, c'est comme le Macintosh". A l'époque, j'étais le seul de tout le département commercial/marketing à résister au PC. Je n'embêtais personne, j'étais totalement autonome et jamais planté. Je baissai finalement la garde et basculai sur Windows 95. Rapidement, je fis le constat que ce système d'exploitation ne valait pas celui du Mac de 1985 ! Mais le doigt dans l'engrenage, je ne pus m'échapper.

En 2002, je quittai le monde du salariat pour lancer mon propre business d'artisan consultant. Et, à mon corps défendant, je conservai Windows, influencé par un certain entourage me développant avec force les incompatibilités dont j'allais souffrir avec mes clients si je quittais le giron Microsoft, et patati et patata.

Début 2006, j'abandonnai mon Palm chéri, car je cherchais l'outil qui habilement intégrerait la fonction téléphone aux fonctions d'agenda et de carnet d'adresses. Mon choix se porta sur un Qtek qui emporta la palme grâce à une intégration physique très réussie. Pas de clavier, juste un écran tactile, une taille et un poids optimum, mais un système d'exploitation Microsoft, très contestable sur sa gestion de fichier. Je m'enfermais donc encore.

A l'été 2006, je décidais de changer de PC pour en acheter un super léger, objectif : 1,5kg. Quand on doit se déplacer, le kilo en moins au bras est très appréciable, et dans le TGV, il faut un petit écran pour travailler correctement dans un siège de 2nde classe. Nostalgique, j'interrogeai Apple et fus très déçu par mes démarches successives : pas de portable super léger (à l'époque), des réponses faibles sur mes questions de récupération de fichiers, de compatibilité avec le Qtek, etc... J'optais donc de nouveau pour un PC avec XP, tout en continuant de surveiller les portes de sortie à Microsoft.

Pourquoi sortir me direz-vous ? Plusieurs raisons à cela :

- je n'ai jamais aimé les produits Microsoft que je trouve trop foisonnants et donc peu cohérents;
- même si la stabilité des produits Microsoft s'est améliorée, cela fait 25 ans que des millions de gens cotisent à des produits chers, avec un système de redevance  proprement scandaleux s'appuyant sur un abus de position dominante;
- l'obscurantisme de l'organisation des systèmes Microsoft condamnent le pauvre utilisateur à faire régulièrement appel à des professionnels ou des bricoleurs malins, qui, même s'ils n'en comprennent pas le fonctionnement général, trouvent les trucs et astuces pour
temporairement débugger le machin;
- je suspecte le grand leader de l'informatique d'avoir étouffé de nombreuses initiatives innovantes grâce à une puissance financière sans équivalent (pétrole excepté) dans l'histoire de l'industrie.

Bref, depuis quelques semaines, je bascule peu à peu vers openoffice, et je viens de passer 3 jours à me bagarrer pour abandonner outlook.

Pour openoffice, le travail est psychologiquement laborieux car il faut se défaire d'habitudes et rechercher des fonctionnalités que j'utilisais par réflexe dans un autre environnement. Mais finalement, on finit par s'y retrouver, openoffice peut donc remplacer Word, Excel, PowerPoint, Access. J'échange mes fichiers avec mes clients soit avec acrobat ou en travail collaboratif avec Google Documents et Tableurs (voir mon article à ce sujet).

La bagarre contre outlook a été pénible. Je surveillais depuis longtemps la possibilité d'associer un agenda à Thunderbird, et surtout d'avoir un utilitaire qui permette la synchronisation avec mon Qtek. Tout cela m'est apparu dans mes recherches de ces derniers jours. Thunderbird est donc l'outil open source (donc gratuit) qui va sérieusement concurrencer Outlook, puisque l'extension lightning y intègre un agenda, certes encore rustique mais plein de promesses. Avec Birdie Sync, j'ai aussi trouvé pour 20€, l'outil de synchro pour Thunderbird agenda, adresses et courriels avec mon Qtek.

Il reste Windows donc. C'est la dernière étape. Je l'entreprendrai dans quelque temps. Le basculement vers Linux est inéluctable, et j'aurai ainsi gagné une nouvelle bataille vers la liberté : sortir du tout Microsoft, solidifier mon autonomie, et vaincre une autre de mes peurs.
Partager cet article
Repost0

Recherche

Bienvenue...

laurent---photo-blog.jpg

Déjà 500 000 visites

Des centaines d'articles publiés

Depuis 2004, je partage des expériences, anecdotes, outils de management : optimiser son temps, manager son équipe, manager son chef, diriger un projet, travailler en intelligence collective. Je propose une démarche inspirée de la vie professionnelle et de la vie au sens large. J'espère que vous y trouvez de l'inspiration pour devenir le manager que vous rêvez d'avoir. Bonnes lectures...

Suivez-moi

Articles populaires :

Un comité de pilotage, pour quoi faire ?

Avoir le temps, prendre le temps

Traduction d'une conférence de Steve Jobs

Du bon usage de la copie cachée

L'objet du mail, une accroche publicitaire

Motiver et construire un vrai planning

La proactivité, c'est bien peu de choses